Wikileaks a publié quelque chose comme 250.000 documents provenant du corps diplomatique américain. Une source intarissable que n’ont pas fini d’éplucher les grands quotidiens nationaux.
Ici, il s’agit de la République Populaire de Chine et de ses relations compliquées avec le net et avec Google en particulier.
La Chine a commencé à faire pression sur Google pour que des informations soient censurées depuis leur moteur de recherche et que la résolution des images des propriétés du gouvernement (bâtiments…) soit dégradée.
Mais cette peur panique du web ne s’est pas arrêtée à des pressions. En effet, le gouvernement Chinois aurait coordonné les intrusions dont les serveurs de Google ont été victimes ces derniers temps.
Source: guardian