Comme vous le savez probablement, les océans sont remplis de cochonneries. Des cochonneries qu’il est en plus impossible de récupérer à la main puisqu’on compte environ 335 000 déchets flottants par km². L’océan a en plus la particularité d’éclater ces déchets, en particulier les matières plastiques. Ces petits bouts de plastiques empoisonnent voire tuent ensuite les poissons ainsi que leurs prédateurs : requins, calmars géants, monstre du Loch Ness et humains. Des étudiants de l’University de Londres sont partis de ce constat pour en trouver la solution. Ils ont alors imaginé des bactéries synthétiques qui auraient la particularité de former des sortes de mini-îles avec ces déchets pour plus facilement les collecter. Ces bactéries se chargeront donc de détecter les déchets, s’y accrocher et y ajouter une substance collante pour que tous ces déchets s’agrègent entre eux. Mais, attention, pour mener à bien ce projet il faut de l’argent, ces étudiants sont donc en pleine recherche de financement. Si vous souhaitez les aider, c’est par ici que ça se passe.
Avis (9)
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Sasa
C’est par où ? Il me semble qu’il manque un lien 😉
shideneyuMissing link =)
I miss money as well to help them =D
Etienne S.Merci, c’est corrigé !
Roax« montre du Loch Ness » ? Un animal métallique ?
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Etienne S.
C’est ce qui arrive lorsqu’on est trop fier de sa blagounette ! Merci, c’est corrigé.
SpoulEt les poissons ne risque pas de s’y coller ?
Etienne S.Pour l’instant, tout ceci est plus de la théorie. Pour l’histoire de la colle, on peut imaginer que la bactérie colle ensemble 2 bouts de plastique, dans ce cas, il n’y aurait plus de problème. Par contre, personnellement, ce qui m’inquiète le plus est de balancer des bactéries fabriquées artificiellement dans la nature. Parce que par exemple, si une seule cellule mute, elle pourrait rapidement échapper à leur contrôle, et la mutation est loin d’être un événement rare…