Sous ce nom de déesse grecque, qui rapporta le printemps à la surface de la planète après avoir passé l’hiver en enfer, se cache le nom de code d’un projet très ambitieux : la construction d’une arche spatiale destinée à naviguer au-delà de notre système solaire d’ici 100 ans.
Ni la NASA, ni Mars one ne sont derrière ce projet, mais une communauté hétéroclite de scientifique (Grande Bretagne, USA, Italie, Pays Bas), notamment soutenue par l’université de Greenwich.
Le projet parle d’un vaisseau autosuffisant basé sur les biotechnologies et le développement durable, capable de transporter quelques milliers de personnes pour voyage de plusieurs générations. La planète en ligne de mire n’est pas déterminée pour l’instant.
Pourvu qu’il lui donne la forme d’un Halo. Histoire d’embarquer avec son Windows phone équipé de Cortana, ainsi science-fiction et réalité ne feront plus qu’un.