[Edito] Pourquoi je hais les jeux free-to-play (et j’espère que vous en ferez autant)

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Pour commencer, cet article ne reflète que mon point de vue strictement personnel et n’est donc aucunement objectif. Passé cet avertissement, rentrons dans le vif du sujet. En ce moment les jeux en free-to-play (vous savez, ces jeux en apparence gratuits mais où il faut payer pour progresser dignement) ont la côte, surtout si vous adorez les petits jeux « débiles » sur smartphone ou tablette. Il faut dire qu’ils sont doublement alléchants : le joueur peut y jouer sans rien débourser (ou du moins, le pense au début) et les éditeurs s’en mettent pleins les poches. Seulement, quand on se met du côté du joueur, il y a rapidement un problème. Il est vrai qu’au début, on prend du plaisir avec ces jeux comme n’importe lesquels, seulement, passé un délai plus ou moins long, on se sent particulièrement frustré. Eh oui, à un moment, le jeu devient tellement difficile qu’il faut payer un petit quelque chose pour progresser (ce point est à nuancer mais la plupart des jeux sont comme ça ou c’est plus ou moins dissimulé). Mais là où cela devient particulièrement vicieux, c’est que comme on a bien avancé dans le jeu, la frustration est énorme et la tentation de dépenser de l’argent autant. C’est d’ailleurs pour ça que ces jeux ramènent autant aux éditeurs. Bref, vous l’aurez compris, les jeux en free-to-play commencent à m’énerver sacrément, d’autant plus que les éditeurs de jeux vidéo commencent à délaisser les véritables jeux vidéo, où l’on paye seulement au début, par ces véritables mines d’or (pour eux, évidemment !). Bref, j’espère que cet article aura au moins eu le mérite d’un peu vous ouvrir les yeux sur ce qu’on peut surnommer les pay-to-win et vous incitera donc à n’acheter que de véritables jeux. Vous pouvez évidemment laisser un commentaire si vous n’êtes pas d’accord.

Avis (3)

  1. Benoît Wery

    En même temps il faut bien que les éditeurs mangent à un moment donné. Et dans le free-to-play, au moins on paye pour un jeu qu’on a testé pendant plusieurs heures. Je me rapelle avoir payé 300 Frs pour un jeu qui n’aura pas duré la journée. Le free to play il faut le voir comme une demo++.
    Je joue pour ma part à plusieurs jeux de ce type, pour certains j’ai sorti la CB , pour d’autre je suis resté en compte gratuit et je continue à m’amuser. Il est vrai que certains jeux gèrent moins bien que d’autres le plaisir de jouer en restant joueur « gratuit », mais ça relève plus d’une difficulté en jeu mal étudiée.

    1. Etienne S.

      Ah mais je suis parfaitement d’accord sur le fait que les éditeurs doivent gagner de l’argent, là n’est pas le problème selon moi. Pour la démo, là par contre, je ne suis pas d’accord du tout. Pour une démo, tu payes un certain prix et tu as le jeu complet (quelques euros pour un jeu sur smartphone). Avec le free-to-play, pour ce même montant, tu as juste un petit bonus, il faudrait claquer une véritable fortune pour obtenir un jeu complet, donc, non, désolé pour moi c’est de l’arnaque ce système, un véritable piège.

  2. David. B

    Oui et à qui ces jeux sont destinés ? à une clientèle jeune en général adolescent.!
    Donc qui doit payer ? Évidemment les parents qui cède au caprices de leurs enfants.
    DONC OUI c’est de l’arnaque pur et simple et j’espère que Bruxelles fera du nettoyage bientôt.
    Mais si cela va aussi vite que la baisse du rooming qui l’escroquerie du siècle, nous en avons pour 10 ans.

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